L'association Fermes d’Avenir a publié un plaidoyer de 150 pages afin « d’établir un bilan quantitatif et qualitatif des bénéfices des fermes maraichères » et de montrer les effets négatifs de l’agriculture chimique, majoritairement utilisée dans les campagnes françaises.
Changer nos modèles de productions
Grâce aux signatures de nombreuses personnalités comme Nicolas Hulot, Muriel Robin, Cyril Lignac, Isabelle Carré ou encore Frédéric Lenoir, le projet pourrait s’imposer et démontrer le besoin de revoir nos modes de productions et notre manière de consommer.
Avec une nouvelle forme d’agriculture responsable, nous serions capable de protéger notre territoire local, nos producteurs mais aussi notre santé tout en renouvelant les emplois et l’environnement.
Parmi les propositions, Fermes d’Avenir compte « permettre aux fermes agroécologiques de bénéficier d’aides à l’emploi », « mettre en place des conventions entre les collectivités et les acteurs de la finance participative pour que les citoyens puissent financer la transition agricole en direct » ou encore « privilégier systématiquement l’attribution du foncier disponible à des projets en agriculture biologique ».
Après 3 années d’expérimentation sur la ferme de la Bourdaisière, construite sur une prairie en relation avec le contexte socio-économique et fondée sur l'agroécologie, Fermes d’Avenir a pu mettre en valeur « 6 familles d’impact » : l’économie, l’emploi, le rendement agricole, l’environnement, la santé, le social et l’éducation. Un tel projet pourrait donc avoir des conséquences sur de multiples secteurs. Chacun peut participer à cette démarche pour une nouvelle agriculture qui nous concerne tous.
Vous aussi, participez à ce projet en partageant le plaidoyer !