Etre flexitarien, c’est diminuer sa consommation de produits d’origine animale sans totalement les supprimer. L’objectif est d’augmenter la consommation de légumes, fruits, légumineuses et céréales complètes de façon équilibrée. En quoi ce régime permet-il d’apporter une vision responsable de l’alimentation aujourd’hui ? Voici quelques éléments de réponses.
La qualité, pas la quantité
Plus qu’un simple régime ou mode d’alimentation, leflexitarisme a tendance à s’affirmer comme un véritable mode de vie. En effet, le flexitarien est plus sensible à la qualité des aliments qu’il ingère. Pour préciser cette idée, ilva essayer d’avoir l’alimentation la plus saine possible pour être en bonne santé.
Plus qu’un simple régime ou mode d’alimentation, leflexitarisme a tendance à s’affirmer comme un véritable mode de vie. En effet, le flexitarien est plus sensible à la qualité des aliments qu’il ingère. Pour préciser cette idée, ilva essayer d’avoir l’alimentation la plus saine possible pour être en bonne santé.
La cuisine, se réapproprier la nourriture
L’objectif du flexitarien est de cuisiner le plus possible ses repas. Ainsi, il évite un apport trop important en sel, ingrédient omni-présent dansles plats préparés. Il ne s’agit pas de tout faire soit-même, certaines aides à la cuisine peuvent être conservées, à partir du moment où leur composition est la plus naturelle possible. En évitant au maximum les plats cuisinés et en privilégiant leur pendant « bio », on ne consomme pas d’OGM.
L’objectif du flexitarien est de cuisiner le plus possible ses repas. Ainsi, il évite un apport trop important en sel, ingrédient omni-présent dansles plats préparés. Il ne s’agit pas de tout faire soit-même, certaines aides à la cuisine peuvent être conservées, à partir du moment où leur composition est la plus naturelle possible. En évitant au maximum les plats cuisinés et en privilégiant leur pendant « bio », on ne consomme pas d’OGM.
L’impact sur l’environnement
Consommer moins de viande, c’est aussi réduire son empreinte écologique. En effet, l’élevage est responsable d’une partie non négligeable de la consommation de ressources et la pollution. En privilégiant des produits d’origine végétale bio ou issus de l’agriculture responsable, on agit concrètement pour l’environnement et pour soi.
Consommer moins de viande, c’est aussi réduire son empreinte écologique. En effet, l’élevage est responsable d’une partie non négligeable de la consommation de ressources et la pollution. En privilégiant des produits d’origine végétale bio ou issus de l’agriculture responsable, on agit concrètement pour l’environnement et pour soi.
D’autre part, l’utilisation intensive d’antibiotiques dans les élevages intensifs ne garantit pas une viande de qualité. Pleinement inscrit dans une démarche de « consom’acteur », le flexitarien s’intéresse à l’origine, la composition, et la qualité des produits qu’il consomme. On peut ainsi dire que le flexitarisme s’inscrit dans une démarche de respect de l’environnement, pour un avenir et une alimentation meilleurs.
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