Ménopause et andropause liées à une insuffisance hormonale
Si l’on s’en tient aux études scientifiques actuelles, moins de 10% des hommes seraient atteints d'andropause à partir de la soixantaine. C’est en fait que ses symptômes sont soit inavoués, soit sous-estimés. Ils toucheraient en fait près de 20% des hommes après 60 ans et plus de 40% après 70 ans.
Alors que la ménopause est liée à la fin du stock d’ovocytes chez la femme, la synthèse des spermatozoïdes persistant chez l'homme laissait penser qu'il n’y avait pas d’équivalent de la ménopause. Pourtant, il existe bien une insuffisance hormonale caractéristique de l’andropause.
Andropause entraîne un manque d’énergie, une faiblesse du sperme et une baisse du désir sexuel
Les symptômes associent le manque d’énergie et la faiblesse du sperme ainsi que la baisse du désir sexuel. Comme chez la femme il peut y avoir des bouffées de chaleur, des sueurs nocturnes, des épisodes d’insomnie, de la nervosité et une prise de poids :
L’andropose est liée à la baisse de la testostérone active. Or cette hormone a de nombreuses actions parmi lesquelles le maintien de la masse musculaire , la prévention de l’ostéoporose ; comme conséquence de se carence, il y a aussi une diminution de la résistance à la fatigue, et comme il s’agit aussi d’un psychostimulant, une baisse de la motivation ; tout cela ressemble donc fort à la ménopause chez la femme.
Traitements hormonaux substitutifs de synthèse pour soulager l'andropause
Les traitements substitutifs de l’andropause seront certainement bientôt proposés aux hommes . Mais il faut savoir qu’autant les THS (traitements hormonaux substitutifs de synthèse) chez la femme sont promoteurs de cancer du sein et de l’ovaire, autant la prise de testostérone chez l’homme peut aussi provoquer certains troubles et notamment de l’agressivité, des comportements sexuels anormaux.
La prise de testostérone de synthèse peut aussi favoriser le cancer de la prostate, augmenter les risques d’accidents vasculaires cérébraux, de lésions des seins et du foie.
Il vaut donc mieux palier à la carence de l’hormone par des plantes adaptées comme cela se fait chez la femme. Utilisez des plantes dont on connaît l’action bloquante sur les récepteurs de la testostérone : elles luttent ainsi à la fois contre l’adénome et le cancer prostatique.
Elles diminuent également l’acné et l’alopécie androgénétique. Elles peuvent être proposées aussi chez l’adolescent pubertaire ou chez l’adulte de la trentaine qui perd ses cheveux. A partir de la soixantaine, ces plantes ont aussi un pouvoir adaptogène : elles augmentent la résistance au stress et à l’effort physique par action sur les surrénales et la synthèse des opiacés, ce qui n’est pas à négliger. Seul inconvénient : leur abus peut favoriser l’hypertension.
On peut proposer ainsi OEMINE Energy : 50 gouttes matin et soir.