Les polluants issus notamment de la circulation urbaine sont à l’origine de nombreux problèmes de santé. Des travaux récents ont montré par exemple que les nanoparticules contenues dans les diesels pénètrent les alvéoles pulmonaires, oxydent les vaisseaux sanguins et les tissus, ce qui sera sur le long terme une des causes de maladies cardio-vasculaires et de cancers. Mais les effets immédiats se traduisent par de la fatigue, des courbatures qui sont des symptômes que l’on relie rarement à la pollution.
D’autres polluants urbains irritent les yeux, les fosses nasales, la gorge, les bronches, et on peut croire à tort qu’on est enrhumé alors que cela ne vient que de la pollution. Il existe d’ailleurs une pathologie nommée syndrome d’irritation bronchique, qui est essentiellement liée à la pollution ; ce syndrome entraîne une toux chronique et lorsque la pollution est importante, la gêne respiratoire s’accompagne de fièvre et de mal de tête. Et cela mime un tableau grippal.
Enfin, la pollution fragilise les bronches, et aggrave toutes les pathologies virales, notamment la grippe. L’inflammation des tissus favorise un effet la pénétration des virus.
Les microparticules de diesel se déposent aussi sur les pollens, les rendant à la fois toxiques et allergisants. Il se peut que la pollution en général soit à l’origine d’une augmentation des maladies allergiques respiratoires et cutanées.
Les règles d’hygiène consistent à :
- Éviter de faire du sport en plein air les jours de grande pollution. Car l’activité physique favorise la pénétration des polluants par la respiration.
- Éviter la ventilation de l’habitacle des véhicules dans les zones de grande pollution.
Lorsqu’il pleut, les gaz d’échappement et l’oxyde de carbone pénètrent encore davantage les alvéoles pulmonaires. Car contrairement à ce que l’on pourrait penser, la pluie ne nettoie pas forcément l’atmosphère.
- Aérer les pièces et l’habitacle des voitures en dehors des périodes de pollution.
Voici quelques compléments alimentaires utiles en période de pollution :
Ils doivent permettre de lutter contre l’oxydation des tissus par les polluants toxiques de l’environnement. Parmi ces compléments l’un des plus utiles pour lutter contre l’oxydation est l’huile de krill. Cette huile que l’on extrait d’un zooplancton est l’un des plus puissants antioxydants marins. Elle protège le sang contre l’oxydation. Et par ce biais, elle favorise donc l’oxygénation des tissus et la protection contre les polluants. Il faut choisir une huile pure, la meilleure étant l’huile de Oemine krill NKO car extraite à froid.
Des travaux ont également été réalisés sur une des variétés de vitamine E naturelle : le gamma (γ) tocophérol : il s’agit du tocophérol antioxydant, le plus utile pour lutter contre les polluants. Une étude de la revue Clinical Nutrition confirme l’intérêt du γ-tocophérol pour améliorer la fonction des poumons. Cette étude portait sur 580 hommes en bonne santé et a montré que leur fonction respiratoire était meilleure lorsque le taux de γ-tocophérol sanguin était normal.
D’autres compléments peuvent contribuer à l’élimination des toxines que le corps à absorbé lors des pics de pollution.
- Le soufre : pour être actif comme détoxifiant, il faut l’absorber sous sa forme organique, c’est-à-dire végétale. les sulforaphanes qui sont présents dans le raifort et le radis noir. Ils augmentent l’élimination urinaire du benzène (de plus de 60%) et de nombreux autres polluants de l’atmosphère urbaine, comme les vapeurs d’acroléïne (cette substance issue des graisses et plastiques brûlés est très irritante pour la peau et les muqueuses des yeux et du nez). Peut proposer par exemple de faire une cure de Oemine soufre.
- L’iode : il est important que notre organisme ne soit pas carencé en iode naturel lors des pics de pollution. Car dans le cas contraire la thyroïde a tendance à fixer les polluants au détriment de cet élément indispensable à son fonctionnement.
À titre d’exemple : le protocole suivant peut être conseillé lors des pics de pollution :
Les jours de pollution
OEMINE E 2 capsules le matin
OEMINE KRILL NKO 1 capsule le matin
En période de risque de pollution et en prévention
OEMINE IODE 2 gélules le matin en permanence
Les jours qui suivent la pollution
OEMINE SOUFRE 2 gélules matin et soir pendant 10 jours
Publirédactionnel proposé par Oemine
Pour en savoir plus:
Rendez-vous sur le site Oemine