Contenance
100g
Descriptif
Les savons Sodasan sont fabriqués traditionnellement, à partir d'huiles bio, ils sont parfumés avec des huiles essentielles bio (si disponibles) et des extraits de plantes.
Ils sont colorés avec des colorants végétaux et des pigments minéraux. Ils sont "surgras", car ils contiennent 1 à 2% de beurre de karité bio non saponifié, pour regraisser la peau. Les huiles essentielles, le colorant et le karité sont ajoutés après la saponification, à froid.
Parfum : Lemongrass
Frais, citronné, encourageant. Huile essentielle obtenue par distillation vapeur des tiges broyées.
Sans parfum.
Sans colorant de synthèse.
Sans conservateur de synthèse.
Sans EDTA (un complexant, avantageusement remplacé par le Karité)
Sodasan utilise des huiles végétales (coco, palme) de culture biologique, certifiées par Ecocert.
Fabrication écologique : aucun déchet non recyclable n’est laissé.
Commerce équitable : les huiles saponnifiées sont des huiles de palme et de coco qui proviennent des pays tropicaux.
Le travail d’enfant est exclu.
Comment fait on du savon ? Faire du savon est à la fois simple et magique ! En quelques étapes l’huile (végétale ou animale) se transforme en savon moussant. Cette technique est pratiquée par l’homme depuis des millénaires.
Huile+alcalin+chaleur= savon+ glycérine Toute huile est composée de glycérine et d’acides gras, ce dernier régit avec une lessive alcaline à base de soude (hydroxyde de sodium) pour devenir un sel d’acide gras.
Ce résultat est communément appelé « savon ».
La définition chimique de cette réaction : le savon est le produit résultant de l’hydrolyse alcaline d’un acide gras. Sous produit : glycérine.
Nous présentons ci dessous la transformation du savon, pour vous permettre une comparaison de la saponification du savon Sodasan avec la fabrication d’un savon conventionnel.
Les matières premières
La transformation
Les additifs
La savonnerie conventionnelle utilise tous types de corps gras : d’origine végétale ou animale. Même des graisses de fritures usées peuvent être saponifiées (ce qui nécessite fortes quantités de colorants et parfums de synthèse pour donner un résultat acceptable.
La savonnerie conventionnelle : dans d’énormes chaudrons de 10.000 à 40.000 litres, les huiles additionnées de soude sont chauffées entre 120) et 130°. La pression peut monter à plusieurs bars pour accélérer la saponification. La glycérine (qui vaut 10 fois le prix du savon) est soutirée et vendue à part. Plusieurs lavages sont nécessaires.
La savonnerie conventionnelle : Colorants de synthèse, parfums de synthèse, conservateurs de Synthèse, complexant EDTA (qui ralentit le séchage, très difficilement biodégradable), azurants optiques (allergisants, polluants), PEGs, tout est possible, car permis. Ainsi la savonnerie conventionnelle peut « embellir » un produit fait à partir des matières premières les moins chères.
Sodasan utilise uniquement des huiles végétales (coco, palme) de culture biologique, certifiées par Ecocert.
Sodasan réalise le même processus dans un petit chaudron, chauffé doucement à 70°C et sans pression. La cuisson est lente, la montée en température est progressive. Sodasan saponifie à l’ancienne « chaudron par chaudron ». La glycérine (3% environ), un hydratant naturel, reste dans le savon pour l’améliorer.
Le savon Sodasan est fait avec 82% d’huiles.
Les « additifs » que Sodasan ajoute au savon de base, sont peu nombreux : huiles essentielles et extraits de plantes (Bio si disponibles) pour le parfum, beurre de karité Bio pour regraisser la peau et pigments végétaux ou minéraux pour colorier le savon. Tous ces ingrédients sont rajoutés après cuisson, par lent pétrissage à froid pour éviter leur dégradation par la chaleur. Ce procédé est habituellement réservé aux savons de luxe.
Conseils d'utilisation
Peut s'utiliser quotidiennement en insistant sur les parties rugueuses.
Composition
Pâte de savon élaborée à partir d'huiles de palme et de coco Bio*, beurre de Karité Bio*, huiles essentielles (1 2%), colorants alimentaires.
*= de culture biologique > 98% certifié par ECOCONTROL.
