Qu'est-ce que la "Guérilla Gardening" ?
Le concept de "Green guérilla" a été crée aux Etats-Unis dans les années 70 par un mouvement hippie qui prônait un retour à la nature. En 2004, l'anglais Richard Reynolds reprend le flambeau et explique sa démarche dans un livre intitulé "La guérilla jardinière". Le but premier est de réinvestir les espaces délaissés de la ville pour l'embellir. Dès lors, tout espace urbain cultivable est susceptible d'être pris d'assaut : interstice dans des murs ou trottoirs de béton, plats de bandes abandonnés, terrains en friches...bref, partout où c'est possible, on sème, on plante, on verdit.
Mais loin de se limiter à une action d'embellissement, la Guérilla Gardening encourage la réappropriation, le partage et l'usage commun des terres, et réintroduit le concept d'autosuffisance en faisant la promotion de la culture des fruits et des légumes en ville.
Des guerriers verts
Le terme de "guérilleros" peut surprendre au vu du pacifisme des actions menées. Ici, le mot d'ordre, c'est "liberté", liberté d'agir sans hiérarchie, liberté de pousser, liberté de rêver à un paysage urbain plus vert. La Guérilla Gardening a débarqué en France et agit dans plusieurs grandes villes telles que Paris, Lyon, Toulouse ou encore Lille. Les actions des guérilleros sont multiples : tags en mousse collés avec de la colle 100% bio faite maison, bombes à graines lancées au hasard d'un terrain ou d'un bout de terre, rendez-vous dans des endroits ciblées armés de semis cultivés sans engrais pour des actions de plantage. Des journées d'actions communes entre les différents groupes ont lieu plusieurs fois dans l'année. C'est le cas de la Journée internationale de la Guérilla tournesol, qui invite chaque 1er mai depuis 2007, les guérilleros à semer des graines de tournesol un peu partout dans l'hexagone. Et si vous n'avez pas encore rencontré ces guérilleros, ne vous inquiétez pas, "tôt ou tard, [ils se] manifesteront dans votre quartier" !
Le concept de "Green guérilla" a été crée aux Etats-Unis dans les années 70 par un mouvement hippie qui prônait un retour à la nature. En 2004, l'anglais Richard Reynolds reprend le flambeau et explique sa démarche dans un livre intitulé "La guérilla jardinière". Le but premier est de réinvestir les espaces délaissés de la ville pour l'embellir. Dès lors, tout espace urbain cultivable est susceptible d'être pris d'assaut : interstice dans des murs ou trottoirs de béton, plats de bandes abandonnés, terrains en friches...bref, partout où c'est possible, on sème, on plante, on verdit.
Mais loin de se limiter à une action d'embellissement, la Guérilla Gardening encourage la réappropriation, le partage et l'usage commun des terres, et réintroduit le concept d'autosuffisance en faisant la promotion de la culture des fruits et des légumes en ville.
Des guerriers verts
Le terme de "guérilleros" peut surprendre au vu du pacifisme des actions menées. Ici, le mot d'ordre, c'est "liberté", liberté d'agir sans hiérarchie, liberté de pousser, liberté de rêver à un paysage urbain plus vert. La Guérilla Gardening a débarqué en France et agit dans plusieurs grandes villes telles que Paris, Lyon, Toulouse ou encore Lille. Les actions des guérilleros sont multiples : tags en mousse collés avec de la colle 100% bio faite maison, bombes à graines lancées au hasard d'un terrain ou d'un bout de terre, rendez-vous dans des endroits ciblées armés de semis cultivés sans engrais pour des actions de plantage. Des journées d'actions communes entre les différents groupes ont lieu plusieurs fois dans l'année. C'est le cas de la Journée internationale de la Guérilla tournesol, qui invite chaque 1er mai depuis 2007, les guérilleros à semer des graines de tournesol un peu partout dans l'hexagone. Et si vous n'avez pas encore rencontré ces guérilleros, ne vous inquiétez pas, "tôt ou tard, [ils se] manifesteront dans votre quartier" !
Pour aller plus loin : guerrillagardening.org