À partir de 12 mois : blanc d’œuf ou œuf entier, lait de vache, agrumes, miel (botulisme), fruits exotiques (papaye, mangue, kiwi…), poissons et fruits de mer en petites quantité et à intervalle de 10 jours.
À partir de 15 / 18 mois : légumineuses en purée.
À partir de 2 ou 3 ans : fruits oléagineux (amandes, noix, noisettes) et arachide.
Précautions
Dans tous les cas, faire le point avec son médecin.
En cas de problèmes particuliers ou pour les populations à risques (antécédents familiaux…), consulter un nutritionniste ou un allergologue.
Attention également aux risques d’étouffement avec les gros morceaux, en particulier les fruits et légumes crus qu’il sera souvent préférable de cuire légèrement, les cacahuètes sur les tables basses à hauteur des jeunes enfants, les morceaux de viande (mixer tant que l’enfant n’est pas capable de mâcher).
En cas de problèmes particuliers ou pour les populations à risques (antécédents familiaux…), consulter un nutritionniste ou un allergologue.
Attention également aux risques d’étouffement avec les gros morceaux, en particulier les fruits et légumes crus qu’il sera souvent préférable de cuire légèrement, les cacahuètes sur les tables basses à hauteur des jeunes enfants, les morceaux de viande (mixer tant que l’enfant n’est pas capable de mâcher).
Penser à enlever les arêtes et les peaux des poissons et volailles.
Sel et sucre
Pas de sel avant 9 mois au moins pour ne pas surcharger les reins du bébé. Même au-delà, il est souvent inutile de saler ces préparations. Les herbes aromatiques et les épices douces remplacent avantageusement le sel (ciboulette, estragon, basilic, persil…).
Quant au sucre, sa consommation est inutile le plus souvent. Utiliser le sucre naturel des fruits pour sucrer les desserts. Si vous souhaitez en utiliser et même pour les desserts des adultes, préférer le sucre complet (le rapadura n’est pas cariogène) ou le sirop d’agave. Retarder au maximum les sucreries qui ne doivent pas devenir une habitude dans l’alimentation de l’enfant.