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Géobiologie: et si la Terre influençait notre humeur?

Une étude géobiologique d'une habitation peut révéler des surprises
Pixabay
Mathieu Pitet
Mis à jour le 25 février 2021
Parmi les nombreux facteurs qui peuvent influencer notre bien-être, certains sont invisibles, comme les ondes et les énergies. Toutes deux ont pourtant des effets sur notre organisme.

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Il existe tout autour de nous une multitude d’énergies invisibles à l’oeil humain. La force magnétique (Nord magnétique), la gravité (objets attirés au sol), le rayonnement électromagnétique (radioactif, infra-rouge, onde radio...), les réseaux cosmo-telluriques (Curry, Hartmann)... Comme le disait Einstein, « concernant la matière, nous nous sommes trompés. Ce que nous avons appelé matière n'est que de l'énergie qui a ralenti sa vibration afin d'être perceptible par nos sens. Il n'y a pas de matière ».

Ne pas voir ne signifie pas qu’un phénomène n’existe pas !  De plus en plus de personnes et certains animaux perçoivent naturellement certaines vibrations invisibles (ces derniers à l’occasion des migrations saisonnières par exemple). Les Hommes ont appris à ressentir, à comprendre et à utiliser ces énergies depuis la nuit des temps. Nos sociétés occidentales modernes, par leurs histoires (religions, persécutions, dogmes scientifiques...) ont éloigné les Hommes peu à peu de ce savoir.

Parlons géobiologie…
La géobiologie est l’étude de l’influence énergétique des effets du sol sur les êtres vivants. C’est un savoir connu depuis l'aube de l'humanité et dépoussiéré au XXème siècle par les Docteurs Hartmann et Curry en observant l'évolution de la guérison des malades hospitalisés en fonction de l'emplacement de leurs lits.  La recherche et les redécouvertes dans ce domaine sont toujours en cours de nos jours.

Il s'agit donc d’identifier et de situer les différentes nuisances énergétiques de notre environnement (habitation, terrain).

D'où proviennent ces nuisances ?
La Terre est parcourue par une multitude de réseaux cosmo-telluriques produit par la rotation de nombreux métaux (Fer, Nickel…) en fusion en son centre. Certains de ces réseaux (Hartmann et Curry) apparaissent nocifs pour le vivant dans certaines configurations (lors de croisements notamment). D'autres réseaux sont au contraire bénéfiques et ont été canalisés et utilisés pour la construction de sites aux fonctions particulières (cathédrales, menhirs, temples...)

Les principales perturbations en géobiologie sont :

  • Les réseaux cosmo-télluriques négatifs (Hartmann et Curry) et les cheminées cosmo-telluriques
  • Les veines d’eau souterraines et les failles géologiques
  • La « mémoire des murs » et du sol (anciens champs de bataille, cimetières...)
  • Les ondes électromagnétiques (wifi, relais gsm, lignes THT…)

Les conséquences pour les individus exposés sur le moyen et long terme sont un sommeil perturbé, des douleurs physiques, l’apparition de faiblesses psychologiques et le développement de pathologies chroniques. Les zones à risques sont donc les endroits les plus fréquentés par les personnes selon leurs habitudes de vie (lit, canapé, chaise de bureau…).
Il semble donc important de prendre en compte ces perturbations lors de l'aménagement de son logement pour assurer le bien-être à long terme de ses occupants.
L'étude géobiologique d'une habitation peut sans problème se réaliser sur plan à distance.


Exemple de l'étude géobiologique d'une habitation sur plan

En extérieur, il est possible de voir certains indices de ses zones perturbantes sur les végétaux. Un trou dans une haie qui ne se comble jamais, une fissure dans un muret sans explications, un arbre qui vrillent lors de sa pousse… Le vivant lutte contre ces perturbations. Certains arbres se couchent ou se coupent en deux pour pousser à coté de ces zones pathogènes. Des excroissances difformes se forment parfois indiquant un arbre maladif.

L’anecdote en géobiologie la plus connue concerne les Romains qui, avant l'implantation d'une nouvelle cité, faisaient paître des moutons sur les terrains choisis pour le futur lieu de construction. Au bout d'une année, les animaux étaient abattus et leurs viscères (foie) étaient examinés. Lorsque trop d'animaux avaient leurs viscères abîmées inexplicablement, ils cherchaient un autre endroit pour bâtir durablement considérant l'endroit inapte à la vie des hommes...

L'auteur :
Mathieu Pitet est énergéticien et géobiologue. Plus d'info sur son site : www.mathieu-pitet.fr.
Son mail : mathieu.pitet[at]gmail.com

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