Constamment exposée sous le regard de vos collègues, vous devez cohabiter dans l’exiguïté d’un espace peu adapté à votre confort professionnel. Dans leur livre L’open space m’a tuer, Alexandre Des Isnards et Thomas Zuber, décrivent avec humour l’enfer de la génération open space.
Phobie sociale à vif : téléphoner devant tout le monde, régler ses affaires personnelles sous l’œil inquisiteur de ses collègues, l’open space vous met à nu en permanence. L’intimité est réduite à peau de chagrin mélangeant du même coup espace professionnel et sphère privée.
L’enfer c’est les autres : pas facile de se concentrer quand votre voisin téléphone ou organise une mini réunion à son bureau. Vos nerfs sont mis à rude épreuve sans avoir la possibilité d’exprimer votre mécontentement. Votre travail tourne au ralenti vous obligeant souvent à faire des heures supplémentaires pour boucler vos dossiers.