L’été, le stress s’évapore et l’on se retrouve pleinement disponible pour sa/son partenaire. Ces moments à deux peuvent alors s’accorder sur le rythme estival… Ralentir et décupler son plaisir, on essaye le slow sex ?
Un souffle de liberté pour se rencontrer
Faire l’amour en conscience, c’est tout l’objet du slow sex. On a le temps et on le prend ! On emprunte le chemin du désir en se déconnectant du reste pour vivre une parenthèse sensuelle. On s’assure de ne pas être dérangé notamment en coupant les smartphones et on prend le temps de se retrouver.
Une touche de lenteur pour se redécouvrir
Ralentir pour éveiller sa conscience à l’instant et ainsi être plus relié à ses sensations, ses émotions ainsi qu’à celles de son/sa partenaire. On prend le temps de se « rencontrer », de se (re)découvrir lentement, de stimuler ses sens. Le toucher avec les caresses, les massages, mais pas que. Les regards se croisent, les lèvres se goûtent… Les sens s’éveillent en humant la peau de l’autre, en murmurant… Une relaxation progressive qui détend le corps et fait tomber d’éventuelles barrières. On laisse le moment infuser : se retrouver en pleine confiance et explorer son corps en même temps que celui de son/sa partenaire. Le sensoriel se joint au sensuel.
Un plaisir partagé pour se rapprocher
Le slow sex invite à savourer l’instant. Ni objectif, ni attente particulière (il n’est point question de performance), on vit le moment présent en se reliant pleinement à son corps, à ses sensations mais aussi en étant attentive au ressenti, aux signes de plaisir de son/sa partenaire. On laisse naître le désir, on lui offre du temps et de l’espace. On est soudain pleinement présent à l’autre et réciproquement. On ressent intensément ce moment de communion intime.
Une bulle d’intimité pour renforcer les liens
Ces instants sont précieux et rappellent, si besoin, que vous êtes bien plus que deux êtres vivants ensemble. Ils sont autant d’instants que vous seuls partagez, autant de moments intenses qui vous appartiennent. Ils enrichissent vos liens et construisent votre histoire commune.
Retrouvez Cindy Chapelle sur son blog, La slow life