Le prix Nobel de la paix a donc été décerné à Al Gore et au GIEC pour « leurs efforts de collecte et de diffusion des connaissances sur les changements climatiques provoqués par l'homme et pour avoir posé les fondements pour les mesures nécessaires à la lutte contre ces changements ».
L’ancien vice-président américain, candidat malheureux à la présidence américaine en 2000, s’est brillamment illustré depuis comme un fervent défenseur de l’environnement. Il a notamment réalisé Une Vérité qui dérange, qui a reçu l'Oscar du meilleur documentaire 2007.
Quant au GIEC, créé en 1988 à la demande du G7 et présidé par l’Indien Rajendra Pachauri, il expertise et compile les recherches effectuées par des milliers de scientifiques à travers le monde sur l’environnement et devrait fournir une synthèse de tous ces travaux dans le cadre d'une réunion plénière, à Valence en Espagne, du 12 au 16 novembre prochain.
Nicolas Sarkozy a exprimé sa « très grande joie » et présenté ses « plus chaleureuses félicitations » à Al Gore et au GIEC pour ce prix. Pour Nicolas Hulot, la remise du Nobel de la paix au GIEC et à Al Gore « est une reconnaissance suprême qui va donner une lisibilité et décréter une mobilisation planétaire ». En plein Grenelle de l’Environnement, Jean-Louis Borloo s’est également réjoui de cette attribution.
L’ancien vice-président américain, candidat malheureux à la présidence américaine en 2000, s’est brillamment illustré depuis comme un fervent défenseur de l’environnement. Il a notamment réalisé Une Vérité qui dérange, qui a reçu l'Oscar du meilleur documentaire 2007.
Quant au GIEC, créé en 1988 à la demande du G7 et présidé par l’Indien Rajendra Pachauri, il expertise et compile les recherches effectuées par des milliers de scientifiques à travers le monde sur l’environnement et devrait fournir une synthèse de tous ces travaux dans le cadre d'une réunion plénière, à Valence en Espagne, du 12 au 16 novembre prochain.
Nicolas Sarkozy a exprimé sa « très grande joie » et présenté ses « plus chaleureuses félicitations » à Al Gore et au GIEC pour ce prix. Pour Nicolas Hulot, la remise du Nobel de la paix au GIEC et à Al Gore « est une reconnaissance suprême qui va donner une lisibilité et décréter une mobilisation planétaire ». En plein Grenelle de l’Environnement, Jean-Louis Borloo s’est également réjoui de cette attribution.