Avec SOS-21, Philippe Le Gonnidec, ancien disc-jockey et directeur d’une boite de production de contenus multimédias, affiche comme ambition de transformer des citoyens passifs en consomm’acteurs, c’es-à-dire en individus conscients de l’impact de leur comportement sur l’environnement.
Aussi, chaque joueur est identifié par son avatar et évalué dans sa pratique et consommation quotidiennes. L’internaute pourra également proposer des initiatives. Si elles remportent l’aval des comités éthiques et scientifiques, ces propositions pourront être réellement appliquées. Avec un investissement initial de 350 000 euros, les concepteurs du jeu rêvent de séduire 3 millions de joueurs au moins en dix mois, voire d’introduire SOS-21 au sein des entreprises et des écoles.
Officiellement lancé le 17 mars prochain, le jeu est soutenu par les collectivités locales, des institutions du type ADEME et des associations telles que le WWF et la Fondation Hulot.
Aussi, chaque joueur est identifié par son avatar et évalué dans sa pratique et consommation quotidiennes. L’internaute pourra également proposer des initiatives. Si elles remportent l’aval des comités éthiques et scientifiques, ces propositions pourront être réellement appliquées. Avec un investissement initial de 350 000 euros, les concepteurs du jeu rêvent de séduire 3 millions de joueurs au moins en dix mois, voire d’introduire SOS-21 au sein des entreprises et des écoles.
Officiellement lancé le 17 mars prochain, le jeu est soutenu par les collectivités locales, des institutions du type ADEME et des associations telles que le WWF et la Fondation Hulot.