Soleil, végétaux, vent, sol, air, cours d’eau, déchets ! Notre environnement est plein de ces énergies vertes qui trouvent enfin grâce aux yeux des pouvoirs publics, alors que le climat se dérègle sous l’effet des émissions de gaz carbonique (CO2) provoquées par le pétrole, le gaz, le charbon — en cours de raréfaction par ailleurs.
On connaît généralement leurs vertus cardinales : inépuisables, car renouvelables (grâce au soleil surtout) ; pas (ou très peu) polluantes — émissions atmosphériques, nuisances diverses ; disponibles presque partout.
Ajoutons désormais que les technologies sont fiables, que la gamme des appareils s’enrichit de nouveaux modèles chaque jour, que les installateurs sont de plus en plus compétents, et qu’il existe des aides financières conséquentes pour nous aider à franchir le pas ! Car les « renouvelables » sont parfaitement adaptées à la production domestique d’énergie.
Dans deux domaines principaux : le chauffage (avec production d’eau chaude), où l’on aura le choix entre le solaire (thermique), le bois et les pompes à chaleur ; et la production d’électricité, grâce au solaire (photovoltaïque), l’éolien, voire la petite hydraulique et même le biogaz. L’heure est venue de passer au vert, question énergies !
À visiter : le site de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie
À lire : Guide des énergies vertes pour la maison , Patrick Piro, éd. Terre vivante, 2006, 160 pages, schémas et photos, 22 €
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