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Canicule 2015 : attention, fortes chaleurs

Canicule : les enfants ont trouvé la solution pour ne pas en souffrir !
Pixabay
Soleil dans la main Canicule : bien se protéger des fortes chaleurs
Jennifer Maherou
Jennifer Maherou
Mis à jour le 25 février 2021
Le retour de la canicule, les pesticides reconnus responsables d’un cancer chez les agriculteurs et les aliments sucrés et gras mauvais pour le cerveau, voilà ce qu’il ne fallait pas manquer cette semaine dans l’actu santé-environnement.

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Alerte canicule
C’est désormais monnaie courante depuis quelques années, chaque été, nous avons droit à notre canicule… C’est cette semaine qu’elle est apparue en France et il faut l’avouer, elle nous fait bien suer ! En France, on considère qu’il y a canicule lorsque pendant au moins trois jours, les températures minimales, en particulier la nuit, sont au-dessus de 20°C et les températures maximales supérieures à 33°C. Les plus sensibles sont bien sûr les plus petits et les personnes âgées. Alors comment faire pour se préserver ? Boire beaucoup, éviter de sortir entre 12h et 16h et privilégier les endroits climatisés.
Le lymphome non hodgkinien reconnu comme maladie professionnelle chez les agriculteurs
Depuis de nombreuses années, les pesticides sont suspectés de jouer un rôle dans le développement du lymphome non-hodgkinien, un cancer touchant le système immunitaire. Mais cette semaine, il a été reconnu officiellement comme maladie professionnelle chez les agriculteurs exposés aux pesticides. Selon le tableau des maladies professionnelles mis à jour, les pesticides concernés sont les composés organochlorés, organophosphorés, ainsi que le carbaryl, le toxaphène et l'atrazine. C’est donc désormais un grand pas en avant pour les professionnels atteints de cette pathologie.
Pour être en forme et intelligent, évitez les aliments gras et sucrés
Si on vous martèle tous les jours "pour votre santé, évitez les aliments gras et sucrés", ce n’est pas pour rien… Une nouvelle étude vient de montrer qu’ils pourraient avoir des conséquences néfastes sur notre cerveau. Les chercheurs ont imposé un régime riche en graisses et en sucres à un groupe de souris et une alimentation saine à un autre qui servait de témoin. En parallèle, ils leur ont fait passer des tests pour évaluer les performances cognitives de chaque groupe. Sans surprise, c’est le premier groupe qui avait les moins bons résultats aux tests, et en particulier sur la mémoire, l’apprentissage et la capacité d’adaptation. Selon les auteurs, la flore intestinale est capable de communiquer avec le cerveau humain. En effet, les bactéries peuvent libérer des composés qui agissent comme des neurotransmetteurs, stimulant les nerfs sensoriels ou le système immunitaire. Alors pour un cerveau en pleine forme, mangez équilibré !

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