Des laits contaminés, c’est l’alu !
L’aluminium fait partie de notre quotidien… Des chercheurs viennent d’ailleurs d’identifier une nouvelle source d’exposition en étudiant trente laits infantiles populaires sur le marché britannique. Le plus inquiétant, ce sont les doses retrouvées : elles étaient environ deux fois supérieures à la valeur réglementaire de l’aluminium dans l’eau du robinet ! Des concentrations bien trop élevées pour une population aussi fragile que celle des nourrissons. Les fautifs seraient les emballages et les processus de fabrication.
Que faire : nourrir bébé au lait maternel. Si, ça n’est pas possible pour vous, privilégiez les préparations pour nourrissons labellisées Bio et, transvasez-les immédiatement dans un bocal en verre afin de limiter la migration de l’aluminium de la boîte vers le lait - qu’il soit prêt à consommer ou en poudre.
Etre Oreo-addict, c’est possible !
Il vous est difficile de manger un Oreo sans finir le paquet entier ? Rassurez-vous, vous n’êtes peut-être pas responsable ! Une étude a en effet montré que ces célèbres petits biscuits ronds à la crème seraient aussi addictifs que la cocaïne. Selon les chercheurs, cela s’expliquerait par le fait que ces biscuits très sucrés activent davantage de neurones dans le "centre du plaisir" du cerveau que la cocaïne ou la morphine. Mais les Oreos ne sont peut-être pas les seuls aliments susceptibles de rendre accros, car de nombreuses études ont déjà souligné que le sucre pouvait être addictif...
La pollution de l’air classée cancérigène, triste scoop
La pollution de l’air extérieur vient d’être classée cancérigène par le Centre International de Recherche contre le Cancer (CIRC). Une décision qui n’a évidemment rien de surprenant puisqu’elle s’inscrit dans la continuité de nombreuses études publiées sur le sujet ces derniers temps. Mais alors qu’est-ce que ça va changer ? Pas grand-chose à première vue…« Classer la pollution de l’air extérieur comme cancérigène, cela reste tout de même très vague… Le CIRC n’a pour l’instant pas communiqué sur un type de polluants précis. Est-ce une volonté délibérée pour ne rien changer ? Personne ne se verrait interdire la pollution de l’air, il y en a même de la naturelle !" souligne le Dr Patrice Halimi, Secrétaire Général de l’ASEF.
Retrouvez dans le détail, toutes les informations sur ces actualités sur le site de l’Association Santé Environnement France : www.asef-asso.fr