Le cahier des charges Ecocert, par exemple, autorise 5% de matières synthétiques dans les produits (principalement des conservateurs) lorsque celles-ci sont trop difficiles à extraire de la nature.
Par exemple les acides benzoiques ou les alcool benzyliques pour assurer la conservation et les oxydes de zinc ou de titane pour la protection solaire.
Ceci dit, la recherche sur les matières premières naturelles avance à grand pas. Dans un futur proche, la totalité des molécules synthétiques devrait être remplaçable par un équivalent naturel.
Extraits du livre d’Eve Demange et Anne Ghesquière « Achetons de la cosmétique Bio ». Ed. Minerva
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