Les bio addicts mangent de tout
Bio ne veut pas dire forcément végétarien ou encore végane. Les consommateurs de bio peuvent aussi bien manger de la viande, des oeufs, du poisson au-delà des graines germées et des algues (qui ne sont pas non plus la base de l'alimentation bio, on vous rassure). On peut-être épicurien, gourmand, bon vivant et bio. Il faut de tout pour faire un monde !
Moins d'OGM, de pesticides...
Croquer dans une pomme à pleines dents sans avoir le sentiment d'engloutir des raticides, fongicides, herbicides, insecticides... Vous en rêvez ? Et bien, le bio vous le permet ! Evidemment ne vous étonnez plus si vous retrouvez une limace dans la laitue, c'est un gage de fraîcheur.
Le bio rend riche
On peut largement réduire la facture en se tournant vers des circuits-courts. Premièrement, ça créé des liens, des discussions sympas et instructives avec le producteur du coin autour d'un chou romanesco. Deuxièmement, on devient expert pour trouver des bons plans et on peut même avoir des ristournes ou faire du troc.
On a enfin le privilège de dire que l'on mange mieux
On mange vraiment mieux, et plus, équilibré ! Logiquement, on doit faire une croix sur les bons cookies réconfortants du supermarchés qui sont bourrés de sucres raffinés, graisses saturées et de tout un tas de choses pas sainss. Le bio addict n'a pas peur de décortiquer la liste des ingrédients derrière son paquet de gâteaux.
Mens sana in corpore sano
Traduction : "un esprit sain dans un corps sain". On fait attention à ce qu'on ingurgite, du coup on est plus vigilant sur d'autres aspects de notre vie. On se sent littéralement pousser des ailes et on fait plus de sport. Alimentation bio = alimentation plus saine = plus d'énergie = plus de sport = plus mince ? A vous d'en juger !
We love planet
Manger bio et priviligier le bio dans notre quotidien, c'est prendre conscience que l'on doit protéger notre chère planète bleue. On devient ami-ami avec notre terre au point de chérir ce qu'elle nous offre. Et au moins ça, c'est lui redonner le statut qu'elle mérite amplement, de quoi éveiller les consciences ! Le camp des bio consommateurs marque un point.
SO-LI-DA-RI-TE
Oui, être bio, c'est se soucier du sort de l'agriculteur et de la courgette qu'il cultive. C'est vouloir se tourner vers un mode de consommation plus raisonné avec une véritable remise en question : pourquoi ne pas manger plus local, plus éthique ? On sort du système de surconsommation futile pour prendre le temps de choisir ce que l'on souhaite vraiment consommer.
Un bel hommage à nos aïeux
Quoi de mieux que de revenir au vrai travail de la terre comme autrefois. Ce n'est pas être rétrogade que de reconsidérer le système de l'agriculture. Respecter les saisons des fruits et des légumes et revenir à des modes de production plus simples, c'est pas franchement se simplifier la vie ? Nos aïeux seraient fiers de nous et les générations futures nous en remercieront.
Vives les légumes oubliés
Panais, crosne, rutabaga, chou-rave, topinambour... Ces légumes reviennent sur le devant de la scène. Les consommateurs bio ont compris depuis longtemps qu'ils avaient du potentiel. Du coup, les bio consommateurs ont fatalement une alimentation un peu plus variée et n'ont pas peur de tester de nouvelles saveurs.
On devient des pros en cuisine
Parce qu'il faut bien mettre en avant notre nouvelle passion pour les légumes oubliés, on se doit d'être de véritables cordons bleus. Pour respecter une alimentation bio, il faut parfois ruser d'astuces pour sublimer des légumes un peu défraîchis. On s'ouvre ainsi de nouveaux horizons, avec notre fibre plus écolo, on se met même à cuisiner les épluchures de légumes bio (moins de pesticides et de résidus d'engrais chimiques).
Nos recettes bio du mois de mars !
Parce qu'on ne pouvait pas vous laisser avec l'eau à la bouche, on vous propose de jeter un coup d'oeil à nos recettes élaborées avec des ingrédients bio.