Les mamans qui se soignent par les médecines alternatives utilisent tout naturellement ces méthodes pour leur bébé. Je préfère le terme « médecines alternatives » à « médecines douces » car il ne faut pas croire que ces pratiques soient tout à fait innocentes. Qu’il s’agisse d’homéopathie, d’acupuncture, d’ostéopathie, de phytothérapie (médecine par les plantes), d’aromathérapie (médecine par les huiles essentielles)… il vaut mieux laisser le soin de la prescription à un praticien qualifié.
L’automédication n’est jamais anodine, et il faut oublier ces idées fausses qui clament que les pratiques ci-dessus sont de la poudre de perlimpinpin. Toutes ces médecines ont prouvé leurs effets, leurs bienfaits, leurs possibilités, mais aussi leurs limites – et ces limites sont également valables pour la médecine allopathique. Puisque la santé de nos enfants ne s’apprend pas dans les manuels et ne s’improvise pas, tentez de trouver un praticien pour chacune des méthodes avec lesquelles vous vous sentez des affinités.
L’avantage par rapport à l’allopathie, c’est que bien utilisées, les médecines alternatives ne présentent pas ou peu d’effets secondaires. Et c’est un argument de poids pour nos tout-petits !
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