La fasciathérapie est une technique manuelle qui vise à rétablir une bonne circulation du sang dans l’organisme en provoquant le relâchement des fascias des muscles contractés. « On est dans le paradigme du soin » explique le fondateur de la méthode qui porte son nom, Danis Bois. « Il s’agit d’une approche par le toucher corporel. Nous sommes aujourd'hui plus prudents qu’à l’origine, nous n’assurons plus que la méthode peut guérir. Nous accompagnons le patient dans sa maladie et la gestion de la douleur. »
Car la fasciathérapie détend, ce qui soulage souvent au moins en partie la douleur physique des patients qui consultent. « C’est incontestable, tous les patients nous font part d’une sensation de bien-être qui envahit leur corps pendant la séance. » précise Danis Bois.
« La fasciathérapie n’a pas vocation à devenir une profession à part, explique Danis Bois, c’est une forme de kinésithérapie ». D’ailleurs, tout fasicathérapeute doit être médecin ou kinésithérapeute pour pouvoir exercer. La discipline puise également dans l’ostéopathie, méthode thérapeutique complémentaire de la précédente. « Il y a deux formes d’ostéopathie : celle structurelle et celle fonctionnelle » précise l’ancien kiné et ostéopathe, avant de préciser, tel un professeur – qu’il est – à ses étudiants : « La première englobe les gestes qui se substituent aux défenses naturelles du sujet afin de libérer une structure pour que la fonction originelle du membre bloqué vive. La seconde libère la fonction pour que la structure se corrige, ce n’est pas tant de la manipulation qu’une écoute du rythme du corps. C’est lui qui a la solution au mal ».
Concrètement, comment fonctionne la méthode de fasciathérapie développée par Danis Bois ? C’est un toucher manuel, dont les gestes sont le fruit de 30 ans d’expérience au contact des patients. Mais les manipulations ne sont pas le cœur de la séance. « En tant que thérapeute, je ne suis qu’un catalyseur de la tension accumulée par le patient. C’est lui qui décide in fine de la relâcher. » Patient et thérapeute sont donc à l’écoute du corps. « C’est une thérapie humaniste. Je crois beaucoup dans le potentiel de l’Homme. »
Mais si le patient ne démarre pas le processus, tout se bloque. Dans ce cas, il n’y a pas de solution miracle. « Je reconnais des échecs dans l’exercice de cette discipline. Mais ils m’ont permis d’aller plus loin ».
En réfléchissant aux causes de ses échecs, Danis Bois a compris que sa méthode sollicitait non seulement le corps, mais aussi l’esprit. « Un traumatisme passé peut s’exprimer par une immobilité, une insensibilité ou une imperception. Le travail du fasciathérapeute est délicat, car il doit justement ramener la personne à s’intéresser à ce trouble et donc à se pencher sur son expérience personnelle ». Le toucher manuel se dote alors d’un aspect plus psychologique : « En travaillant sur la zone malade, le thérapeute sollicite la mémoire du patient. La personne peut avoir une remémoration spontanée. Ce n’est pas anodin émotionnellement. »
D’où la définition que donne Danis Bois de sa méthode de fasciathérapie : « C’est un toucher manuel de relation, qui vise, concerne la personne dans toutes sa structure émotionnelle, psychique et physique ».
Aujourd'hui, plusieurs méthodes de fasciathérapie cohabitent. La discipline a acquis ses lettres de noblesse dans le monde des médecines alternatives et complémentaires. Elle est forte d’un réseau de plusieurs milliers de praticiens.
Car la fasciathérapie détend, ce qui soulage souvent au moins en partie la douleur physique des patients qui consultent. « C’est incontestable, tous les patients nous font part d’une sensation de bien-être qui envahit leur corps pendant la séance. » précise Danis Bois.
« La fasciathérapie n’a pas vocation à devenir une profession à part, explique Danis Bois, c’est une forme de kinésithérapie ». D’ailleurs, tout fasicathérapeute doit être médecin ou kinésithérapeute pour pouvoir exercer. La discipline puise également dans l’ostéopathie, méthode thérapeutique complémentaire de la précédente. « Il y a deux formes d’ostéopathie : celle structurelle et celle fonctionnelle » précise l’ancien kiné et ostéopathe, avant de préciser, tel un professeur – qu’il est – à ses étudiants : « La première englobe les gestes qui se substituent aux défenses naturelles du sujet afin de libérer une structure pour que la fonction originelle du membre bloqué vive. La seconde libère la fonction pour que la structure se corrige, ce n’est pas tant de la manipulation qu’une écoute du rythme du corps. C’est lui qui a la solution au mal ».
Concrètement, comment fonctionne la méthode de fasciathérapie développée par Danis Bois ? C’est un toucher manuel, dont les gestes sont le fruit de 30 ans d’expérience au contact des patients. Mais les manipulations ne sont pas le cœur de la séance. « En tant que thérapeute, je ne suis qu’un catalyseur de la tension accumulée par le patient. C’est lui qui décide in fine de la relâcher. » Patient et thérapeute sont donc à l’écoute du corps. « C’est une thérapie humaniste. Je crois beaucoup dans le potentiel de l’Homme. »
Mais si le patient ne démarre pas le processus, tout se bloque. Dans ce cas, il n’y a pas de solution miracle. « Je reconnais des échecs dans l’exercice de cette discipline. Mais ils m’ont permis d’aller plus loin ».
En réfléchissant aux causes de ses échecs, Danis Bois a compris que sa méthode sollicitait non seulement le corps, mais aussi l’esprit. « Un traumatisme passé peut s’exprimer par une immobilité, une insensibilité ou une imperception. Le travail du fasciathérapeute est délicat, car il doit justement ramener la personne à s’intéresser à ce trouble et donc à se pencher sur son expérience personnelle ». Le toucher manuel se dote alors d’un aspect plus psychologique : « En travaillant sur la zone malade, le thérapeute sollicite la mémoire du patient. La personne peut avoir une remémoration spontanée. Ce n’est pas anodin émotionnellement. »
D’où la définition que donne Danis Bois de sa méthode de fasciathérapie : « C’est un toucher manuel de relation, qui vise, concerne la personne dans toutes sa structure émotionnelle, psychique et physique ».
Aujourd'hui, plusieurs méthodes de fasciathérapie cohabitent. La discipline a acquis ses lettres de noblesse dans le monde des médecines alternatives et complémentaires. Elle est forte d’un réseau de plusieurs milliers de praticiens.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site de Danis Bois