De plus, la sédentarité qui s’associe plus généralement à l’hiver est aussi propice au stockage de déchets métaboliques (toxiques exogènes et toxines endogènes).
Enfin, la médecine énergétique enseigne que le printemps correspond à une reprise d’activité du foie, organe essentiel en matière de détoxification. Ce concept de « cures » saisonnières est vieux comme le monde, ou plus précisément, aussi vieux que nos racines historiques en médecine naturelle, puisque les Sumériens (il y a 6000 ans), Hippocrate (2300 ans), tout comme les Esséniens (1900 ans) ou les traditions ayurvédiques ou chinoises en font mention.
Les cures sont alors avant tout préventives, mais elles s’avèrent aussi souveraines pour rétablir la santé dans bien des cas de troubles aigus ou chroniques fonctionnels.