Dans ce documentaire, le professeur Luc Montagnier relate ses dernières découvertes, en lien avec les travaux du chercheur en chimie moléculaire Marc Henri.
Le professeur Luc Montagnier est un biologiste virologue français qui a reçu un Prix Nobel de physiologie ou médecine, pour sa découverte en 1983 du VIH, le virus responsable du SIDA. Il a repris les travaux de Jacques Benveniste, chercheur et médecin immunologue ayant émis l’hypothèse que l’eau, entrée en contact avec certaines substances, conserve une empreinte de certaines propriétés alors même qu'elle la substance ne s’y trouve statistiquement plus.
Alors que cette théorie a fait l’objet de nombreuses controverses par d’autres scientifiques, le Professeur Montagnier estime que Benveniste avait raison, malgré des résultats non reproductibles à 100%. Dans ce reportage de 45 mn, vous découvrirez que l'on peut non seulement coder un ADN tout entier sur de l'eau liquide, mais aussi lire la trace électromagnétique mémorisée sur cette même eau liquide pour reproduire fidèlement l'ADN utilisé lors de la dilution. Selon Luc Montagnier, il serait même possible d'identifier des bactéries encore inconnues de la science et responsables de maladies graves par la simple trace électromagnétique qu'elles laissent dans le sang.
On le sait, le 5 juillet, c’est les 1/4 de finale de la coupe du monde de football… Le choix va être dur ? Et sinon, France 5 rediffuse le documentaire le 7 juillet à 14h. Ouf !
En attendant, pour aiguiser votre appétit, vous pouvez aller faire un tour du côté de ces vidéos, dans lesquelles Jacques Benveniste explique sa démarche scientifique qui l’a conduit à sa théorie de la mémoire de l’eau
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"La mémoire de l'eau" le 5 juillet à 19h sur France 5
A consulter sur FemininBio pendant le documentaire
> La composition idéale de l'eau
> Londres : l'eau comme énergie pour son restaurant
